Conte en hommage à Lamartine

Martine où cours-tu ?

Blondinette, guillerette, le long de la rivière,

tu n’es pas peu fière

tu tiens dans tes menottes du vieux pain.

Tu poursuis ton chemin, toi la Martine, guillerette, coquette.

Là, au loin sur l’onde glissent deux majestueux cygnes,

et, croyez-moi

l’un des cygnes dit à l’autre :

« pressons nous, voilà la Martine »

Bertrand Chauvin